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    Aiguille du Midi : d’un projet fou à un rêve transfrontalier

    Olivier CiucciOlivier Ciucci21 juin 2025
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    À l'Aiguille du Midi (c) CC BY-SA Calips Wikimedia Commons
    À l'Aiguille du Midi (c) CC BY-SA Calips Wikimedia Commons

    Le 24 juin 1955, une cabine rouge et blanche quittait lentement sa gare inférieure, suspendue à un câble d’acier tendu vers le vide. Quelques minutes plus tard, elle allait poser ses passagers à 3 842 mètres, au sommet de l’Aiguille du Midi. Ce jour-là, la haute montagne devenait accessible à tous, et la vallée de Chamonix entrait dans une nouvelle ère.

    Soixante-dix ans plus tard, ce téléphérique mythique reste un symbole de la conquête technique des Alpes. Mais derrière cette réussite, il y a une histoire longue, tumultueuse, et une ambition oubliée : celle d’unir Chamonix à Courmayeur, la France à l’Italie, dans une traversée transfrontalière suspendue au-dessus des glaciers.

    Une ambition portée par un homme, Dino Lora Totino, ingénieur italien et visionnaire discret. Voici le récit d’un rêve fou qui a mis un demi-siècle à se réaliser.

    À l'aiguille du midi (c) cc by sa calips wikimedia commons
    À l’Aiguille du Midi (c) CC BY-SA Calips Wikimedia Commons

    Aux origines du rêve : conquérir les cimes pour tous

    Le rêve de relier Chamonix aux sommets du massif du Mont Blanc remonte à la fin du XIXe siècle. La France vient d’intégrer, en 1860, les Pays de Savoie et une partie du massif du Mont Blanc à son territoire et veut marquer un grand coup symbolique en lançant le défi technologique de conquérir la plus haute cime d’Europe. 

    À cette époque, la montagne est encore l’apanage des alpinistes, des pionniers guidés par la corde et le piolet. Mais l’essor du tourisme alpin change la donne. Chamonix, station née au creux de la vallée glaciaire, attire une clientèle toujours plus curieuse de haute altitude, sans pour autant vouloir grimper par ses propres moyens.

    Plusieurs projets plus fous les uns que les autres sont en compétition : des trains en surface ou souterrains, des ascenseurs, des téléphériques pour atteindre des altitudes vertigineuses. La rivalité entre Chamonix et Saint-Gervais bat son plein, chaque vallée voulant s’arroger la suprématie sur le Mont Blanc.

     Finalement pour diverses raisons, c’est Saint-Gervais qui remporte la mise : construire un train jusqu’au plus près du sommet du Mont Blanc. En 1907 la construction du tramway du Mont Blanc, au départ de Saint-Gervais, débute et la ligne atteint déjà le Nid d’Aigle à 2 372 mètres en 1913.

    Les premières tentatives de conquête de l’Aiguille du Midi

    Aiguille du midi mt blanc panorama from le brevent
    Aiguille du Midi et mont Blanc vue du Brévent (c) CC BY SA 2_0 Murray Foubister Wikimedia Commons

    Mais Chamonix ne veut pas être en reste. En 1909, la commune obtient une première concession pour construire un téléphérique. L’idée : atteindre l’Aiguille du Midi, majestueux piton rocheux surplombant les glaciers et tout proche du dôme sommital du géant des Alpes. L’objectif est double : offrir aux touristes un panorama unique sur le massif et ouvrir un accès rapide aux alpinistes, qui pourront ensuite rejoindre la Vallée Blanche, le refuge des Cosmiques ou même tenter l’ascension du Mont Blanc.

    Pour des raisons techniques, le projet sera réajusté pour le faire aboutir au col du Midi, juste sous l’Aiguille, avec trois tronçons partant des Pèlerins.

    Les travaux débutent rapidement, mais la Première Guerre mondiale interrompt le chantier alors que le premier tronçon, entre les Pèlerins et La Para, est presque achevé. Ce tronçon ouvre finalement en 1924, suivi d’un second jusqu’aux Glaciers en 1927, constituant alors le téléphérique pour voyageurs le plus haut du monde.

    Durant les années 1930 et 1940, la ligne vieillit mal, souffre de problèmes structurels, et la Seconde Guerre mondiale retarde encore les travaux.

    Après la guerre, la société exploitante tente de relancer le projet. Cependant, les bases du pylône et de la gare supérieure révèlent de graves défauts structurels. Le béton cède, les vents s’engouffrent, la ligne n’est plus viable. L’ensemble du projet a été est un calvaire : météo imprévisible, financement en dents de scie, guerres mondiales. La dernière portion, jusqu’au col du Midi, ne sera jamais achevée.

    En 1948, le projet est officiellement abandonné. En 1951, l’exploitation est arrêtée. La haute montagne reste inaccessible par câble, et le rêve alpin s’enlise dans les ruines de ses propres ambitions.

    Pendant ce temps, en Italie, le rêve transfrontalier prend forme

    Dino lora turino, al centro della fotografia (c) cc by sa 4 0 otto05 wikimedia commons
    Dino Lora Turino, au milieu (c) CC BY-SA 4_0 Otto05 Wikimedia Commons

    Dino Lora Totino (1900-1980) était un ingénieur et industriel italien issu d’une grande famille de fabricants de laine du Piémont. Passionné de montagne et de ski, il s’est illustré comme un pionnier des transports par câble, réalisant dès les années 1930 plusieurs téléphériques majeurs en Italie, notamment à Breuil-Cervinia, ce qui lui valut le surnom de « comte de Cervinia ».

    C’est lors de ses excursions dans la Vallée d’Aoste que Lora Totino conçoit l’idée visionnaire d’une liaison internationale par téléphérique entre Courmayeur (Italie) et Chamonix (France), franchissant le massif du Mont-Blanc. Son ambition était de relier deux capitales de l’alpinisme et du ski, rendant la haute montagne accessible au grand public tout en réalisant une prouesse technique et symbolique.

    Pour concrétiser ce projet, il fonde en 1940 la société « Funivie d’Italia », qui obtient d’abord un marché militaire : malgré des moyens techniques limités, la première section La Palud–Pavillon du Mont-Fréty ouvre aux troupes en 1942. Il peut ensuite développer la vocation touristique des installations après la guerre, en ouvrant le même tronçon aux touristes en 1947.

    La suite passe par la construction du téléphérique du versant italien du Mont-Blanc, reliant La Palud à la Pointe Helbronner via le Pavillon du Mont Fréty et le refuge Torino, avec des sections audacieuses comme celle de 2 440 mètres sans pylône intermédiaire (1957).

    Mais entre-temps, Lora Totino, a décidé de prendre en main la partie française de son rêve.

    Dino Lora Totino et la renaissance d’un projet franco-italien

    Funivia ghiacciai vallée blanche (c) cc by sa 3 0 giorgio ravera wikimedia commons
    Funivia Ghiacciai Vallée Blanche (c) CC BY-SA 3_0 Giorgio Ravera Wikimedia Commons

    Ce sont les dirigeants de la CFFM (Compagnie Française des Funiculaires de Montagne), exploitant historique des premiers tronçons du téléphérique de l’Aiguille du Midi à Chamonix, qui ont fait appel à Dino Lora Totino à la fin des années 1940. Après l’abandon du projet initial vers le col du Midi en 1948, la CFFM se retrouve face à une impasse : ses installations sont obsolètes, la compagnie est financièrement fragile et elle ne parvient plus à faire avancer le projet.

    C’est dans ce contexte d’échec que surgit un nom encore peu connu du grand public français : Dino Lora Totino. Industriel piémontais, héritier d’une dynastie textile, il s’est déjà fait un nom en Italie en construisant des téléphériques à Breuil-Cervinia. Passionné de montagne, amoureux du Mont Blanc, il a une vision claire : relier Courmayeur à Chamonix par la voie des airs. Non pas depuis les vallées, mais par les cimes, au-dessus de la Vallée Blanche, entre glaciers et séracs.

    C’est l’homme de la situation. Ils prennent contact avec lui pour lui proposer de reprendre le projet et d’envisager un tracé innovant, plus direct et techniquement ambitieux.

    En 1949, la Compagnie du Téléphérique de l’Aiguille du Midi (CTAM) est fondée.

    Lora Totino en prend la direction. Son implication transforme le projet : il propose un tracé avec une seule gare intermédiaire au Plan de l’Aiguille et une portée unique, sans pylône, jusqu’au sommet, ce qui était alors considéré comme révolutionnaire.

    Le téléphérique de l’Aiguille du Midi et la traversée de la Vallée Blanche

    Télécabine entre l'aiguille du midiet et punta helbronner (c) cc by sa 3 0 ximonic simo räsänen wikimedia commons
    Skyway Mont-Blanc sul lato valdostano sur le côté valdôtain (c) CC BY SA 4_0 SteGrifo27 Wikimedia Commons

    Les travaux débutent en 1951. L’hiver est rude, les ouvriers dorment sous des tentes, creusent à la dynamite, hissent à dos d’homme ou par câbles les matériaux sur des parois verticales. Le génie humain côtoie le vide : plus de 2,8 kilomètres de câble tendu entre deux gares, un record mondial de portée sans pylône.

    Le 24 juin 1955, le nouveau téléphérique est inauguré. Lorsqu’à partir du 19 août débute l’exploitation touristique, il devient officiellement le plus haut du monde. En 20 minutes, on passe de Chamonix (1 035 m) au sommet de l’Aiguille (3 842 m), avec une vue plongeante sur les Grandes Jorasses, le Dôme du Goûter et le Mont Blanc. Le chantier est une réussite absolue, une revanche sur 40 années de tâtonnements.

    Mais pour Lora Totino, ce n’est qu’une étape. Pour matériaiser son rêve, il doit concrétiser la suite.

    Deux ans plus tard, en 1957, une cabine franchit la Vallée Blanche suspendue entre l’Aiguille du Midi et la Pointe Helbronner (3 462 m), en Italie. Trois kilomètres de câbles, sans pylône, au-dessus des crevasses et des glaciers mouvants. C’est la naissance de la télécabine Panoramic Mont-Blanc, fruit d’une coopération inédite entre les autorités françaises et italiennes.

    En parallèle, côté italien, le téléphérique part de Courmayeur (La Palud) et monte au Pavillon du Mont Fréty, puis au refuge Torino et enfin à la Pointe Helbronner, grâce à des techniques audacieuses.

    La liaison complète est ainsi achevée en 1957, scellant définitivement la liaison transfrontalière.

    Chamonix et Courmayeur, deux capitales de l’alpinisme, sont désormais unies par le ciel. En un peu plus d’une heure, on peut traverser le massif du Mont Blanc sans crampons, sans corde, porté par la technologie.

    Là où les communes de Saint-Gervais et de Chamonix se sont déchirées pour la suprématie sur le massif, Lora Totino a rêvé d’un axe transalpin, d’un symbole d’unité alpine dans un contexte européen encore hanté par les frontières. Il a imposé son style.

    Cette traversée symbolise l’union des peuples alpins et la coopération franco-italienne, bien avant l’ouverture du tunnel du Mont Blanc en 1965.

    Skyway mont blanc sul lato valdostano sur le côté valdôtain (c) cc by sa 4 0 stegrifo27 wikimedia commons
    Skyway Mont-Blanc sul lato valdostano sur le côté valdôtain (c) CC BY SA 4_0 SteGrifo27 Wikimedia Commons

    Coopération transfrontalière : entre vision et enjeux

    Aujourd’hui encore, le téléphérique de l’Aiguille du Midi reste un record. Il accueille plus de 500 000 visiteurs par an, passionnés d’alpinisme ou simples curieux en quête d’un panorama inoubliable. La cabine suspendue glisse entre ciel et rocher, frôle l’abîme, tutoie les nuages.

    Des alpinistes y trouvent le départ vers la Vallée Blanche, les Cosmiques, ou le Mont Blanc. Des scientifiques y installent des instruments météo ou glaciologiques. Les guides et les secouristes l’utilisent comme un outil vital. C’est un vecteur de tourisme, mais aussi un trait d’union international.

    En 2015, côté italien, le Skyway Monte Bianco est inauguré. Ce nouveau téléphérique ultramoderne relie à son tour Courmayeur à la Pointe Helbronner, avec des cabines rotatives et des gares circulaires, illustrant l’évolution continue des ambitions alpines. L’esprit de Lora Totino y plane encore.

    Le rêve de Totino s’est accompli au moment même où l’Europe s’inventait à nouveau. Bien avant Schengen ou l’Espace Mont-Blanc, ce projet avait posé les bases d’une coopération alpine concrète. De nos jours, malgré les tensions sur la gestion de la frontière au sommet du Mont Blanc, les défis du changement climatique, les débats sur la surfréquentation touristique, la traversée aérienne Chamonix–Courmayeur demeure un symbole fort.

    LIRE AUSSI: Ce train qui devait arriver au sommet du mont Blanc

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    Olivier Ciucci
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    Un pied en France, un pied en Italie, depuis mon enfance je traverse les frontières et je me passionne pour la culture alpine et les paysages des Alpes. Je transmets cette passion à travers mon activité de rédacteur et consultant dans le tourisme et l’outdoor. J’ai créé le blog alpaddict.com et j’anime une communauté de plusieurs milliers de passionnés sur les réseaux sociaux associés au blog. Vous me croiserez en montagne, en ville ou dans un musée, mais toujours avec mon appareil photo !

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