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    Nos Alpes à la découverte

    Ce curiste prestigieux qui initia l’essor du thermalisme à Aix-les-Bains

    Olivier CiucciOlivier Ciucci19 juillet 2025
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    Palais de Savoie à Aix-les-Bains (c) CC BY-SA 3_0 Florian Pépellin Wikimedia Commons
    Palais de Savoie à Aix-les-Bains (c) CC BY-SA 3_0 Florian Pépellin Wikimedia Commons

    Avant l’annexion de 1860, la Maison de Savoie a façonné Aix-les-Bains comme une ville de thermalisme de prestige. De Charles‑Emmanuel III à Victor‑Amédée III, les souverains savoyards ont pris la décision politique majeure d’exploiter les sources, de construire de nouveaux édifices et de doter la vallée d’une modernité urbaine.

    Ce legs demeure visible aujourd’hui dans l’architecture, l’urbanisme et le rayonnement thermal aixois. Pendant une cinquantaine d’années au XVIIIème siècle, Aix-les-Bains fut au cœur d’un mouvement de renouveau urbain et de développement du thermalisme voulu fortement par les Rois piémontais.

    L’étincelle qui accéléra les projets fut la visite d’un curiste prestigieux…

    Des eaux antiques mais un urbanisme mal adapté

    Bien avant que la dynastie savoyarde ne trace un avenir ambitieux pour Aix‑les‑Bains, ses eaux jaillissaient déjà, discrètes et puissantes dans la localité. Elles provenaient de la roche jurassienne, sur l’autre rive du lac du Bourget après un parcours sous ce même lac.

    On dénombre au moins quatre sources principales, exploitées à différentes époques et pour des usages variés. 

    La source Chevalley haute captée en profondeur, dégage une eau à 71 °C, riche en bicarbonate, soufre et oligo‑éléments elle est reconnue pour les rhumatismes et les troubles veineux. La source Reine‑Hortense (ou Chevalley basse) apporte une eau à 38 °C, aux propriétés complémentaires : apaisantes, anti-inflammatoires, veinotoniques.

    Les sources de Marlioz, découvertes vers 1850 au sud de la ville, s’entourent aujourd’hui d’un parc de 10 ha. Leur eau, également sulfurée et riche, est centrée sur les affections respiratoires et muqueuses bucco-linguales. En parallèle, la source minérale d’Aix-les-Bains, captée au nord à Raphy Saint‑Simon, globalise ces eaux pour l’embouteillage sous le nom d’Eau minérale naturelle d’Aix-les-Bains, mise en bouteille depuis 1906.

    Certes, la ville a exploité ces eaux depuis l’Antiquité : les vestiges romains, conservés dans les sous-sols de la maison dite de Lamartine, en plein cœur du centre-ville et le Bain Royal (simple piscine, ultime vestige des thermes romains), à proximité de l’ancien château d’Aix témoignent d’une première intégration des bains à une vie quotidienne.

    Thermes romains d'aix les bains (c) cc by sa florian pépellin wikimedia commons
    Thermes romains d’Aix-les-Bains (c) CC BY-SA Florian Pépellin Wikimedia Commons

    Au Moyen Âge, l’usage fut discret : les sources furent exploitées de façon domestique ou au sein d’austères bains médiévaux sans trace d’un projet urbain ou institutionnel. L’urbanisation dense du bourg qui entourait les sources, n’en permettaient pas une éventuelle exploitation.

    Une crue pour changer la vocation du centre-ville d’Aix-les-Bains

    En 1737, une crue du ruisseau du Sierroz, qui traverse le cœur d’Aix, menace les quartiers proches des sources chaudes.  L’eau de surface, froide et chargée d’alluvions, risque d’infiltrer les nappes thermales profondes, altérant leur température, leur pureté et leur débit. Il fallait protéger les sources aux propriétés thérapeutiques déjà connues.

    L’Intendance royale du duché dirige un chantier majeur : on creuse un nouveau lit pour le ruisseau du Sierroz, on déplace les moulins centraux. En les déplaçant, l’administration du duché libère de l’espace en centre-ville, près des sources. Cela permet d’envisager ultérieurement la construction d’établissements thermaux, comme ce sera le cas en 1779 avec les Anciens Thermes.

    En d’autres termes : cette opération préfigure un aménagement urbain tourné vers la valorisation des eaux plutôt que vers leur exploitation artisanale (meunerie, tannerie, etc.). Également l’intervention directe de l’Etat du Roi Charles Emmanuel III marque un changement d’échelle : on passe d’une gestion locale à une vision territoriale pilotée par le pouvoir central.

    Ce geste qui parait avant tout hydrologique, ouvre la voie à un redéploiement urbain. Toutefois, à ce stade, Aix reste un village rural, sans urbanisme ni ambition thermale assumée.

    Un incendie qui va changer l’aspect et la dimension d’Aix-les-Bains

    Le 9 avril 1739, un incendie dévastateur ravage Aix‑les‑Bains, détruisant environ 80 maisons — presque la moitié du bourg — dans le secteur central, comprenant la rue Albert Ier, la place Carnot et rue des Bains. Cet événement fait basculer l’histoire de la cité thermale. Le roi Charles‑Emmanuel III, souverain de Sardaigne et duc de Savoie, intervient directement pour guider la reconstruction, tout comme en 1840, Charles-Albert le fera pour Sallanches.. C’est le début d’une mutation urbaine.

    En effet, à la suite de l’incendie, les autorités locales sollicitent un soutien financier royal. Charles‑Emmanuel III accorde immédiatement des subsides sous condition : la reconstruction doit intégrer un urbanisme modernisé. Il mandate l’ingénieur Garella pour établir un plan d’alignement plus rationnel. Ce plan, exécuté immédiatement, impose des rues rectilignes et décloisonnées, des façades harmonisées avec deux étages et rez‑de‑chaussée, l’interdiction de toitures en chaume — combustible à l’origine de l’incendie — tout en gardant une application bornée au quartier sinistré.

    Grâce à cette reconstruction guidée par les principes de l’urbanisme éclairé, fondé sur la rationalité, l’hygiène, l’élégance — la ville se prépare à devenir une future station thermale de prestige.

    Aix-les-Bains se transforme de petit bourg en ville aux préceptes urbanistes et hygiénistes les plus modernes. Une mutation idéale pour accueillir un tourisme thermal en plein développement. La Maison de Savoie ambitionne à posséder une station thermale Européenne d’envergure pour attirer l’élite de l’époque.

    La profonde déception d’un curiste spécial

    Benedetto maurizio di savoia duca del chiablese (c) cc by sa public domain wikimedia commons
    Benedetto Maurizio di Savoia duca del Chiablese (c) CC BY-SA Public Domain Wikimedia Commons

    Néanmoins, en août 1772, Benoît-Maurice séjourne à Aix pour prendre les eaux sulfurées, réputées. Logé à proximité immédiate des sources, il découvre des installations vétustes, inconfortables, inadéquates au standing attendu pour un visiteur de prestige.

    Bien que Benoît-Maurice (Benedetto) n’ait probablement pas fréquenté les grandes stations thermales d’Europe comme Spa, Vichy, Baden ou Bad Ischl, on peut supposer qu’il ait passé quelques séjours dans les thermes piémontais d’Acqui ou de Saint-Vincent en Vallée d’Aoste— réputées dès le XVIIIe siècle. Il était donc à connaissance, par usage direct ou par ouï dire, des usages aristocratiques de l’époque, liés à la santé, l’hygiène et les loisirs.

    Benoît-Maurice n’est autre que le Prince Benedetto de Savoie, duc du Chablais et le fils du Roi Charles‑Emmanuel III ! Il exprime son mécontentement face à l’état dégradé des bains. Il en fait état directement à la cour de Turin. Selon lui, Aix mérite un établissement thermal digne de ce nom, à la hauteur de sa réputation naturelle.

    Cela déclenche une impulsion royale décisive. Dès 1775, Victor‑Amédée III lui-même, successeur de Charles-Emmanuel III (mort en 1773), et demi-frère de Benedetto, visite Aix et, suite aux doléances des élus locaux prend une décision : un décret royal daté du 11 juin 1776, ordonnant au comte de Robilant, officier et ingénieur, de concevoir un grand établissement thermal autour de la source sulfurée.

    Le projet Thermal (1779-1783)

    Le plan initial était très ambitieux et prévoyait des bassins alimentés par deux sources thermales. Cependant, face aux contraintes financières, le projet est recentré sur la source sulfurée unique, afin d’en faire le pivot du nouvel établissement. Les travaux démarrent en 1779 et s’achèvent en 1783 : le chantier, financé par impôts sur le duché et la ville, démarre en 1779 et se conclut en 1783.

    Ancien portail d'entrée des thermes d'aix les bains du xviiième (c) cc by sa 4 0 florian pépellin wikimedia commons
    Ancien portail d’entrée des thermes d’Aix-les-Bains du XVIIIème (c) CC BY-SA 4_0 Florian Pépellin Wikimedia Commons

    Le majestueux Bâtiment royal des Bains présente une façade à ordre ionique, typique du néoclassicisme turinois, toujours visible, une disposition en fer à cheval agrandi vers l’est, avec une cour intérieure rapidement mise en valeur. L’édifice répond à des critères d’hygiène, de confort et de prestige, comparables aux grandes stations européennes de l’époque. Il s’élève à l’emplacement de bains médiévaux démolis, libérant une esplanade pour les curistes. Il dynamise ainsi la reconfiguration du tissu urbain alentour (actuelle rue Victor‑Amédée III). Dès son ouverture, la station accueille près de 600 curistes par an.

    Les bains seront plus tard agrandis

    Les bains seront plus tard agrandis entre 1829–1832 (première annexe) puis entre 1854–1861 sous l’architecte Jules Pellegrini, suivi du grand agrandissement Pétriaux (1930–1934) – soulignant la pérennité de la structure initiée sous les Savoie.

    Le développement du thermalisme s’inscrit dans une stratégie de prestige dynastique. Victor‑Amédée III exploite le site pour affirmer l’image de Savoie comme un état éclairé, moderne et bienveillant. Le thermalisme devient une vitrine : hôtels, sentiers, services et routes sont développés pour attirer une clientèle aristocratique – Piémontais, Savoyards, Français parfois étrangers – ce qui impulse un essor économique notable (artisanat, hôtellerie, soins).

    Anciens thermes d'aix les bains du xixème siècle (c) cc by sa 4 0 florian pépellin wikimedia commons
    Anciens thermes d’Aix-les-Bains du XIXème siècle (c) CC BY SA 4_0 Florian Pépellin Wikimedia Commons

    Aix se transforme en vitrine urbaine : ruelles alignées, espaces piétonniers, promenade (le « Gigot », futur square Boucher), soulignant une volonté politique d’urbanisme sociale mais aussi d’attractivité. Le thermalisme devient ainsi un outil d’influence et de soft power, avant d’affirmer un modèle économique nouveau pour les États anciens.

    1860 : l’héritage savoyard boosté par la France

    Avec le Traité de Turin (24 mars 1860), Aix devient française. Mais le thermalisme est déjà en place ; la France hérite d’un dispositif structuré qu’elle valorise immédiatement.

    En 1854-1860, Victor‑Emmanuel II, roi de Sardaigne puis roi d’Italie, avait lancé des agrandissements sous l’architecte Charles‑Bernard Pellegrini : nouvelle façade néoclassique, annexes, galeries vitrées. Mais les travaux manquent de fonds, jusqu’à ce que Napoléon III, devenu empereur, reprend le projet. Il achève les extensions thermales, déclare les eaux « nationales », et inscrit Aix comme station de prestige par le Second Empire. La signature « RF » enrichit la façade des thermes.

    Parallèlement, la France revisite le casino Grand Cercle / Palais de Savoie, initialement construit en 1850, sous la maison de Savoie, reconstruit et agrandit l’Hôtel de Ville, ancien château d’Aix, aménage le parc floral (1865-1869). Enfin, l’amélioration de la gare, reliée depuis 1858 au réseau français de chemins de fer, consolide Aix comme centre thermal à l’échelle nationale et internationale.

    Mairie de aix les bains, le château (c) cc by sa 4 0 aurore73 wikimedia commons
    Mairie de Aix-les-Bains, le Château (c) CC BY-SA 4_0 Aurore73 Wikimedia Commons

    Aix-les-Bains, son destin a été scellé par la Maison de Savoie

    Lors d’une flânerie dans le centre-ville, Aix se révèle comme le résultat d’une véritable intention royale. S’y promener, c’est aussi la volonté politique d’un premier roi qui a perçu le potentiel stratégique de cette ville d’eau et d’un deuxième qui en a exécuté la transformation vers un thermalisme moderne, en voyant dans l’eau un vecteur de prestige, d’hygiène et de progrès.

    Entre les deux, le Duc du Chablais, Benedetto, a utilisé de son influence haut placée pour que la Savoie, dont il était un des seigneurs, profite de la puissance économique du Royaume de Sardaigne.

    Aujourd’hui encore, la station thermale la plus fréquentée de France reste héritière de cet acte fondateur. La dynastie de Savoie a su les élever à un rang européen, laissant à la France et à ses curistes une œuvre à entretenir, moderniser, valoriser.

    Parc floral des thermes à aix les bains (c) cc 00 1 0 public domain daderot wikimedia commons
    Parc floral des Thermes à Aix-les-Bains (c) CC 00 1 Public Domain Daderot Wikimedia Commons
    Aix les bain depuis la chapelle du mont du chat (c) cc by sa 4 0 mathis brancquart wikimedia commons
    Aix-les-Bain depuis La Chapelle du Mont du Chat (c) CC BY SA 4_0 Mathis Brancquart Wikimedia Commons

    LIRE AUSSI: Ces rivalités qui ont fait la fortune d’Annecy

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    Olivier Ciucci
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    Un pied en France, un pied en Italie, depuis mon enfance je traverse les frontières et je me passionne pour la culture alpine et les paysages des Alpes. Je transmets cette passion à travers mon activité de rédacteur et consultant dans le tourisme et l’outdoor. J’ai créé le blog alpaddict.com et j’anime une communauté de plusieurs milliers de passionnés sur les réseaux sociaux associés au blog. Vous me croiserez en montagne, en ville ou dans un musée, mais toujours avec mon appareil photo !

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