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    Alpes du Nord et Rhône

    De Conflans à Albertville, un condensé de l’histoire de la Savoie

    Olivier CiucciOlivier Ciucci14 septembre 2024
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    1280px Grande Place De Conflans 2 (2017)
    Grande-Place de Conflans, près d'Albertville (c) CC BY-SA B. Brassoud Wikimedia Commons

    Conflans est une petite cité médiévale perchée sur une butte sur les hauteurs d’Albertville en Savoie. C’est d’ailleurs, de nos jours, un des quartiers de la ville, mais Conflans a vécu avec panache toutes les grandes époques de l’histoire de la Savoie. Il reste encore de nombreux vestiges de ce long passé millénaire.

    En Savoie, c’est le seul exemple de ville fortifiée encore existante. Avec ses remparts, ses jardins, ses ruelles pavées, ses échoppes, sa tour et ses maisons fortes, Conflans mérite une visite. Allons à la découverte de son patrimoine historique.

    Conflans, un site stratégique depuis le début de son histoire.

    Depuis la plaine d’Albertville, on distingue à peine la petite butte boisée de laquelle émerge le clocher de l’église de Conflans. Les montagnes autour sont tellement hautes que cette petite colline est assez difficile à percevoir. Cependant lorsqu’on est dans les jardins de Conflans et que l’on domine d’une cinquantaine de mètres la vallée de l’Isère, on comprend pourquoi ce lieu a été aussi stratégique depuis l’époque romaine.

    Conflans se trouve à l’entrée de la vallée de la Tarentaise, sur la voie romaine Alpis Graia qui menait de Lyon et Vienne à Milan et Rome en passant par le col du Petit Saint Bernard. Seule et unique voie d’accès à travers cette vallée.

    Les chevaliers de l’ordre Hospitalier de Saint Jean de Jérusalem l’ont d’ailleurs bien compris, eux, qui ont érigé une commanderie au pied du promontoire, sur les bords de l’Arly dès le début du XIIIème siècle. Ce relais pour les pèlerins qui empruntaient la Via Francigena prit le nom de L’Hôpital sous Conflans. Un bourg nommé Conflans existait déjà sur le sommet de la butte depuis le XIème siècle.

    Etymologiquement, le nom de Conflans, rappelle aussi que cette colline se trouve à la confluence de deux fleuves, l’Arly provenant du nord, et l’Isère qui coule depuis les abords de la frontière italienne. Deux fleuves, deux vallées, un point de passage obligé. Un site à contrôler absolument. Les Comtes de Genève sont au Nord du Val d’Arly, les Comtes-Archevêques de Tarentaise en amont de l’Isère, et plus tard, par le Sud, la Combe de Savoie se transformera en lieu de passage au fil des siècles, des armées françaises venant envahir la Savoie, avant de refluer sous la contrainte des traités de paix.

    Conflans, une cité fortifiée

    Les fortifications successives construites sur le promontoire rocheux de Conflans sont le témoin de cette importance stratégique. Par ailleurs, en amont de la cité de Conflans, on retrouve le Fort du Mont, construit en époque bien plus récente, à la fin du XIXème siècle, dans un système de défense de type Séré de Rivières (comme le fort de l’Esseillon) pour défendre la France contre d’éventuelles invasions italiennes.

    Les seigneurs des lieux ont été à tour de rôle les comtes-archevêques de Tarentaise et les Comtes de Savoie. On retrouve ici la complexité du puzzle qui a permis de construire le duché de Savoie.

    Tour Sarrasine de Conflans en Savoie en 2018 (c) CC BY SA Florian Pépelin Wikimedia Commons
    Tour Sarrasine de Conflans en Savoie en 2018 (c) CC BY SA Florian Pépelin Wikimedia Commons

    Les premiers édifices à vocation défensive furent le château comtal aujourd’hui disparu et le château de la Cour, dont ne subsiste plus que la Tour Sarrasine (XIIème siècle) qui en constituait le donjon. Malgré son appellation, aucun lié avec les Maures n’a été retrouvé. C’est probablement à cause de sa fonction visible de défense qu’on lui a accordé, plus tard, ce nom.

    Au XIVème siècle ces deux châteaux tombés dans le giron du Comté de Savoie faisaient face au Château de Chantemerle (aujourd’hui en ruine dans la ville voisine de La Bâthie), possession des archevêques de Tarentaise

    Il existait aussi un château sur les rives de l’Arly et un château construit sur le site du castrum romain, qui dominait la cité, Châtel sur Conflans, qui appartenait à la famille de Duin, originaire du Comté de Genève, basé sur les rives du lac d’Annecy et grande donatrice pour les abbayes de Tamié (proche d’Albertville) et de Talloires.

    De ces châteaux il ne reste plus grand-chose, en grande partie à cause du temps, mais aussi à cause du siège de Conflans par les troupes d’Henri IV et son général dauphinois Lesdiguières.

    Nous voilà le 25 août 1600. Le duc Charles Emmanuel de Savoie préfère la guerre à la restitution du Marquisat de Saluces dont il s’était approprié en 1588. Henri IV vient de la lui déclarer le 11 août, deux semaines plus tôt. C’est le début de la Guerre Franco-Savoyarde. Les troupes du Roi de France, emmenées par le protestant Lesdiguières remontent la Combe de Savoie et arrivent devant la Cité de Conflans le 25 août. Après seulement deux jours de combat, et alors que les Français attaquaient la garnison à l’intérieur de la citadelle avec l’appui de canons postés sur les hauteurs, Conflans se rendit le 27 Août 1600.

    600 soldats français remplacèrent alors les 1300 soldats savoyards qui durent partir au Piémont. Cette guerre se poursuivra jusqu’au 18 décembre sur tout le territoire de Savoie, avant que le traité de Lyon n’y mette fin.

    Par ce traité, finalement Saluces restera durablement rattaché à la Maison de Savoie, mais celle-ci aura été affaiblie sur son flanc occidental en perdant la Bresse et d’autres territoires et aura perdu tout espoir de conquérir un jour Genève.

    Les édifices à l’intérieur des remparts de Conflans

    A l’intérieur des remparts, et malgré les destructions liées aux guerres et aux occupations par les armées étrangères, plusieurs bâtiments et édifices sont encore bien conservés.

    La Maison Rouge, une bâtisse de style gothique aux fenêtres en ogive et aux murs épais construits avec des briques rouges selon la mode italienne du XVème siècle – ce qui lui valut le surnom de Palais Pisan, est un palais construit par l’ancien secrétaire du Comte Amédée VI de Savoie. Cette brique était très rare en Savoie à l’époque. Elle n’était utilisée que pour des palais seigneuriaux importants comme le Palazzo Vecchio à Florence.

    Maison Rouge de Conflans (c) CC BY SA Tangopaso Wikimedia Commons
    Maison Rouge de Conflans (c) CC BY SA Tangopaso Wikimedia Commons

    Avant de devenir le musée d’Art et d’Histoire de Conflans, la Maison Rouge fut un couvent, une caserne, une école, un bureau du Sénat de Savoie, un hospice…

    Aujourd’hui on y découvre un parcours sur l’histoire et la culture de la région d’Albertville : de l’archéologie au ski en passant par l’histoire de Savoie et l’agropastoralisme.

    Les ruelles pavées bien conservées sont flanquées de plusieurs échoppes et boutiques dont les enseignes en fer forgé donnent à l’ensemble un aspect digne d’un décor de théâtre. Il faut les parcourir à la tombée du jour ou par une journée enneigée pour se retrouver dans l’ambiance du XVIIème et XVIIIème siècles. On ne manquera pas de s’arrêter à proximité de la fontaine Anselme. La Grande Rue de Conflans mène de la Porte de Savoie, ouverte sur Albertville et la Combe de Savoie et la Porte Tarine ouverte vers la Tarentaise.

    Tour Ramus à Conflans en 2016 (c) Cc BY SA B. Brassoud Wikimedia Commons
    Tour Ramus à Conflans en 2016 (c) Cc BY SA B. Brassoud Wikimedia Commons

    Près de la porte de Savoie, on trouve la Tour Ramus, ou maison à tourelles, qui était le logis seigneurial de la famille Ramus. La tour abrite l’escalier, comme on peut aussi le voir à Chambéry ou à Lyon.

    Le monument principal reste cependant l’église. C’est son clocher à double bulbe que l’on aperçoit depuis la plaine aux abords de Conflans. C’est le son de ses quatre cloches -dont la plus grande se nomme le Bourdon de Conflans- que l’on entend résonner dans la vallée.

    L’église est consacrée à Notre Dame de l’Assomption. Elle est aussi connue sous le nom de Saint Grat, du nom de l’évêque d’Aoste. C’est un trésor de l’art baroque savoyard.

    En effet, l’église médiévale ayant été détruite par un incendie en 1632, elle fut reconstruite au début du XVIIIème siècle sous l’influence de l’art Baroque. Le retable baroques, doré à la feuille d’or, fut démonté à la Révolution française, puis remonté au temps du concordat. Tout comme le clocher d’ailleurs.

    Les fresques extérieures sont plus récentes et datent du XXème siècle.

    L'église De Saint Grat À Conflans (c) Cc By Sa Arnaud 25 Wikimedia Commons
    Église Saint Grat de Conflans en Savoie (c) CC bY SA Florian Pépelin Wikimedia Commons
    Église Saint Grat de Conflans en Savoie (c) CC bY SA Florian Pépelin Wikimedia Commons

    La promenade dans le centre-ville nous conduit à deux beaux points de vue. Ils sont au-dessus de ce qu’il reste des remparts de Conflans, vers la Combe de Savoie et la ville d’Albertville. L’esplanade de la Grande Roche matérialise l’emplacement d’une ancienne maison forte.

    A l’extérieur des remparts de la cité de Conflans

    Deux châteaux subsistent à l’extérieur des remparts de la cité de Conflans : le Château Rouge et le Château de Costaroche.

    Le premier a été bâti à la même période que la Maison Rouge, avec la même intention d’utiliser la brique rouge italienne, en signe de puissance. C’est cette fois le trésorier du Comte Vert – surnom d’Amédée VI de Savoie-  qui en eut l’envie et la prétention.

    Le deuxième a été construit bien plus tardivement par la famille de Locatel. C’est l’imposant château que l’on peut admirer depuis la promenade sur les rives de l’Arly à Albertville. Il est aujourd’hui connu sous le nom de Château Manuel de Locatel.

    Les Locatelli, des marchands anoblis de Bergame, décident de s’installer en Savoie et achètent des vignes, deux maisons et des terres près de Conflans au début du XVIème siècle. En 1574, Jean-Antoine et les siens, se font même naturaliser savoyards. Jean-Antoine est devenu un homme d’armes au service du Duché. Leur nom d’usage est francisé depuis en Locatel. Sur les terres qu’ils avaient acquises ils font construire une grande maison forte. C’est la maison de Costaroche (« contre la roche »). Ce qui est intéressant, c’est qu’ils l’ont construite – vers la fin du XVIème siècle- sur demande du Duc de Savoie pour protéger Conflans contre d’éventuelles invasions françaises depuis la vallée. Le Duc avait vu juste. Quelques années plus tard la cité était assiégée pendant la Guerre Franco-Savoyarde.

    Château de Manuel à Conflans (c) CC BY SA Tournasol7 Wikimedia Commons
    Château de Manuel à Conflans (c) CC BY SA Tournasol7 Wikimedia Commons

    La guerre finie, la maison forte devient un lieu de résidence pour la famille Locatel. La petite fille de Jean-Antoine, se mariera à un homme de la famille Manuel. D’où le nom de Château Manuel de Locatel sous lequel est connu cet édifice qui a réouvert ses portes au public il y a quelques années à peine. La dernière descendante des Manuel de Locatel s’est éteinte en 1970. Pendant toute cette même période l’édifice a été habité par les descendants de la même famille.

    De Conflans à Albertville

    Etape sur la voie Alpis Graia et sur la Via Francigena, vigie contre les invasions tarines ou dauphinoises, citadelle importante dans les dispositifs de défense savoyards, français et même espagnols, Conflans n’a jamais cessé d’avoir une importance politique et militaire unique sur le territoire de la Savoie.

    Après la Guerre Franco-Savoyarde, elle fut même érigée au statut de Marquisat, avant d’être proclamée chef-lieu de la Province de Haute-Savoie entre 1815 et 1835.

    Elle assurait même le contrôle des Salines Royales de Moûtiers.

    Malgré sa petite taille, son rayonnement était tellement fort, qu’on lui changea même son nom en Roc-Libre pendant la Révolution française. Tout un symbole !

    De nos jours Conflans est un quartier d’Albertville. Que s’est-il passé en 1835 ?

    En 1814, les habitants de la commune de l’Hôpital sous Conflans, ne souhaitait plus être associés à un lieu à forte connotation d’hospice. Pendant la Révolution Française, L’Hôpital avait même été renommé « Bourg de Santé » … Tout un programme.

    Ils demandèrent alors au Roi de Sardaigne, Victor-Emmanuel de changer de nom et d’appeler la commune « Saint-Victor » en honneur à Sa majesté. La requête ne fut pas retenue, l’actualité internationale de l’époque étant prioritaire.

    Plus tard, lorsque Charles-Félix se présenta, on lui fit la requête de nommer les lieux « Charles-ville ». Malheureusement, ce roi non plus ne s’intéressa à la question.

    Enfin arriva Charles-Albert de Savoie.

    La cité de Conflans était trop devenue trop petite pour contenir la population qui affluait au XIXème siècle et qui s’amassait sur les rives de l’Arly dans la commune plus moderne de L’Hôpital. La décision fut ainsi prise de réunir les communes de Conflans, de l’Hôpital et de Saint Sigismond en une seule ville. C’est ainsi que par ordre royal,  le 19 décembre 1835, les trois communes fusionnèrent et la nouvelle entité administrative s’appela Albertville, en honneur du roi.

    Aujourd’hui Albertville est une ville dynamique, moderne qui a bénéficié de l’organisation des Jeux Olympiques d’Hiver en 1992 et qui continue son développement économique.

    Mais depuis les ruelles qui coupent la rue principale où sont alignés les commerces, on aperçoit sur une colline, un clocher à deux bulbes qui émerge parmi la frondaison des arbres.

    C’est ici en bas, que tout continue, mais c’est là-haut que tout a commencé.

    Albertville porte le nom d’un roi, Conflans raconte l’histoire de sa dynastie.

    LIRE AUSSI : Cette promesse non maintenue sur les Forts de l’Esseillon

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    Un pied en France, un pied en Italie, depuis mon enfance je traverse les frontières et je me passionne pour la culture alpine et les paysages des Alpes. Je transmets cette passion à travers mon activité de rédacteur et consultant dans le tourisme et l’outdoor. J’ai créé le blog alpaddict.com et j’anime une communauté de plusieurs milliers de passionnés sur les réseaux sociaux associés au blog. Vous me croiserez en montagne, en ville ou dans un musée, mais toujours avec mon appareil photo !

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