Le « Train des merveilles » reliant Nice à Tende ne circule plus dans la Vallée de la Roya et pendant 16 mois, plus précisément jusqu’au 14 décembre 2025. Ceci est dû à la série de travaux qui affectent la zone en général et la ligne ferroviaire notamment depuis septembre dernier.

Depuis la Tempête Alex, la reconstruction se poursuit et concerne désormais la section elle-même, dans sa double capacité de train touristique et de train express régional (TER). Elle va faire l’objet d’une rénovation et d’une modernisation pour un investissement total de 78,1 millions d’euros, dont 70% sont pris en charge par la Région Sud.

Comment voyager sur la ligne Nice-Tende ?

Les désagréments ne manquent pas pour les usagers de la ligne Nice-Tende, compte tenu des reports constants de l’ouverture du Tunnel de Tende depuis quatre ans.

Cependant, malgré les travaux, le service ferroviaire entre Nice et Tende reste actif, à l’exception de la fermeture complète pendant les trois semaines précédant la fin des chantiers. Il s’arrête à Nice-Pont-Michel, l’Ariane, La Trinité, Drap-Cantaron, Peille, Touët del’Escarène, Sospel, Breil-sur-Roya, Fontan-Saorge, Saint-Dalmas-de-Tendre, La Brigue et Tende.

Une série de bus de remplacement a été également mise en place au départ de la gare de Menton à destination de Sospel (ligne 15) ou de Vintimille, Breil-sur-Roya, Fontan, Saorge et La Brigue (ligne 25).

Une dernière option est la ligne ferroviaire transfrontalière qui relie les villes de Côni et de Vintimille, en passant par les gares de Breil-sur-Roya, Fontan, Saorge, La Brigue et Tende.

La fermeture du guichet de Breil-sur-Roya

Aux dégâts causés par l’interruption du trafic ferroviaire entre Nice et Tende s’ajoute un autre problème, à savoir la fermeture du guichet de la gare de Breil-sur-Roya. Jusqu’à dimanche dernier, 1er septembre, le seul établissement encore en activité dans la Vallée était tenu par quatre employés en service alterné.

Les raisons de cette suspension sont purement liées à la faible fréquentation de celui-ci. Toutefois, il reste possible d’acheter des billets en ligne et l’éventualité d’installer un totem automatique sur place pour les seuls TER n’est pas exclue.

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Née en 1997, j'ai deux licences en langues et littératures modernes, un master en journalisme 3.0 et une détermination inébranlable, le tout obtenu avec les meilleures notes. Passionnée d'écriture depuis l'âge de 7 ans et journaliste indépendante depuis 2021, j'ai participé à la construction de "Nos Alpes" en grandissant jour après jour et en apprenant à être meilleure. Dans le temps libre que j'essaie de me ménager, je cultive certaines de mes passions frivoles, notamment le rose et les sucreries, le shopping et le maquillage, mais surtout mes récits.

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