Close Menu
    Facebook X (Twitter) Instagram YouTube LinkedIn
    Nos Alpes
    • FAI UN DONO
    • PARTNERS
    • ABBONATI
    Facebook X (Twitter) Instagram YouTube LinkedIn
    • Économie et politique
      • Transports
      • Économie
      • Politique
    • Culture et patrimoine
    • Environnement et territoire
    • Tourisme et sport
    • Territoires
      • Alpes du Nord et Rhône
      • Alpes du Sud et Provence
      • Vallée d’Aoste
      • Piémont
      • Ligurie
      • Corse et Sardaigne
      • Suisse romande et Tessin
    • Rubriques
      • Nos Alpes à la découverte
      • Nos Alpes, Nos Livres
      • Nos Alpes Cuisine
      • Contes et récits
    • FR
      • IT
    • Log In
    Nos Alpes
    Home » Posts » Les va-et-vient des ducs de Savoie aux thermes de la Vallée d’Aoste
    Culture

    Les va-et-vient des ducs de Savoie aux thermes de la Vallée d’Aoste

    Caterina PizzatoCaterina Pizzato26 juillet 2025
    Share Facebook Twitter LinkedIn Email WhatsApp Copy Link Telegram
    Le attuali terme a Pré-Saint-Didier in Valle d'Aosta - les thermes à Pré-Saint-Didier en Vallée d'Aoste (c) CC BY-SA 3_0 SSire Wikimedia Commons
    Le attuali terme a Pré-Saint-Didier in Valle d'Aosta - les thermes à Pré-Saint-Didier en Vallée d'Aoste (c) CC BY-SA 3_0 SSire Wikimedia Commons

    A la découverte des débuts du tourisme en Vallée d’Aoste, Caterina Pizzato raconte la présence de la Maison de Savoie et le développement des thermes. Olivier Ciucci l’avait évoqué samedi dernier dans son récit de celle d’Aix-les-Bains…


    L’un des protagonistes de l’âge d’or du développement touristique en Vallée d’Aoste a certainement été le thermalisme : Courmayeur, Pré-Saint-Didier et Saint-Vincent ont prospéré grâce à la présence des membres de la Maison de Savoie, qui a amené avec elle une suite d’aristocrates et de diverses personnalités de la politique, de l’économie et de la culture.

    Les ducs de Savoie fréquentaient les eaux de la Vallée d’Aoste dès le XVIe siècle

    Dès les XVIe et XVIIe siècles, en effet, les sources d’eaux chaudes, minérales et curatives étaient largement fréquentées par la Maison de Savoie, qui avait contribué à l’analyse des propriétés thérapeutiques des eaux et à la diffusion de leurs connaissances : ce n’est pas un hasard si des investissements considérables sur le réseau routier ont permis d’améliorer l’accès de Turin aux stations thermales de la Vallée d’Aoste.

    Comme le raconte l’abbé Henry dans son Histoire populaire religieuse et civile de la Vallée d’Aoste (1929), « la villégiature a commencé, dans la Vallée d’Aoste, il y a plus de deux siècles et demi. Elle débuta à Courmayeur et à Pré-Saint-Didier, où existent des eaux minérales et thermales. Depuis 1670 environ, tous les étés les malades vinrent demander la guérison à ces sources merveilleuses. […] dans ces deux pays furent crées les premiers hôtels. […]

    En 1850 la Famille Royale vient passer la saison à Courmayeur avec une nombreuse suite : grande réclame pour le pays ! La Famille Royale logeait généralement dans les cures. […] Ensuite on vint chercher chez nous non plus seulement les eaux minérales, mais le bon air de montagne, le repos, la tranquillité : […] depuis 1860 commencèrent les constructions à Gressoney, à Valtournenche et à Cogne. Puis à partir de 1880 […] partout on bâtit des hôtels. Depuis 1900 on peut dire que toutes les communes alpines ont des villégiateurs : […] parmi les plus marquants, signalons la Reine Marguerite. Elle vint passer plusieurs étés à Courmayeur, à l’Hôtel Royal, ensuite elle se fit construire à Gressoney-Saint-Jean, au débouché du vallon de l’Aranzola, la Villa Savoie, qu’elle habita régulièrement tous les étés dès l’année 1904″.

    Les eaux de Pré-Saint-Didier-les-Bains

    Les eaux salubres et bienfaisantes de Pré-Saint-Didier-les-Bains étaient déjà connues à l’époque romaine, mais les premières informations historiques certaines remontent à 1560, à l’acte d’emphytéose accordé par le duc Emmanuel-Philibert à Claude de Léaval, représentant d’une noble et ancienne famille de Morgex et propriétaire de la station thermale depuis le XVe siècle. Au cours du XVIIe siècle, un éboulement (ou une terrible inondation) fit disparaître les sources sous des tonnes de débris et elles ne furent retrouvées qu’en 1752 lorsque la source refit surface dans l’étroite gorge du Gouffre où coule la Doire de Verney.

    Au milieu du siècle, la gestion des bains passe aux mains du Conseil des Commis et en 1770, sur la rive droite du ruisseau, on construit un petit bâtiment adossé à la montagne avec dix-huit bassins et une douche, où les princes Charles Emmanuel de Savoie-Carignano et Marie-Christine de Saxe, parents de Charles-Albert, séjournent pendant quarante jours en 1789.

    Amé Gorret, Claude-Nicolas Bich, Guide de la Vallée d'Aoste, 1877 (c) CC01 Public Domain Wikimedia Commons
    Amé Gorret, Claude-Nicolas Bich, Guide de la Vallée d’Aoste, 1877 (c) CC01 Public Domain Wikimedia Commons

    La modernité des thermes au XIXe siècle

    L’établissement, dirigé par les frères Perrod, est entièrement rénové en 1834 et compte dix-sept baignoires de marbre blanc avec dix-huit cabines de change élégantes et bien meublées. L’eau arrivait par une série de canalisations souterraines en plomb qui maintenaient la température de la gorge de l’Orrido à 28,5 degrés Réaumur, soit environ 36°C.

    Dans les années suivantes, l’offre thermale s’enrichit d’une annexe abritant une salle de bal et des salles de lecture et de jeux, tandis que quelques hôtels sont construits à proximité, comme l’Hôtel de l’Univers et de la Rose des frères Orset.

    L’eau arsenic-ferrugineuse était très efficace pour soigner les rhumatismes, les paralysies, les maladies de peau, les maladies scrofuleuses et même la stérilité. Les tarifs d’accès à la source étaient : L. 4 comme droit d’entrée fixe, L. 1 pour un bain simple avec linge, L. 5 pour un bain de vapeur, L. 1,50 pour une douche quelconque et L. 0,50 pour se reposer dans un lit de l’établissement pendant une heure ou moins.

    Une information sur les thermes de Pré-Saint-Didier

    A Courmayeur, à la découverte des sources thermales

    La ville de Courmayeur, connue à l’époque romaine pour son exploitation minière, doit sa fortune touristique aux sources d’eau minérale aux hautes vertus thérapeutiques, aujourd’hui tombées dans l’oubli. L’époque de leur découverte n’est pas connue, mais selon la tradition populaire, elle est due aux animaux qui non seulement s’en abreuvaient mais guérissaient de leurs maux : la renommée des cures miraculeuses parvint jusqu’à Turin et des analyses furent entreprises pour en préciser les vertus.

    Au XVIIe siècle, les principales sources portent le nom de membres de la famille régnante : la source Vittoria en l’honneur du jeune duc Victor-Amédée ; Jeanne-Baptiste en tant qu’épouse de Charles Emmanuel II et Marguerite en tant qu’épouse d’Emmanuel-Philibert, qui les avait fréquentées pour la première fois en 1536. La fontaine de La Saxe tire son nom de la montagne du même nom qui la surplombe et que l’on pourrait traduire par « Saxe », en référence aux alliances de la famille de Savoie avec les familles austro-hongroises. Il y avait aussi la source Reine, découverte plus tard, en l’honneur de Marguerite de Savoie.

    Les célèbres sources d’eau curative et sulfureuse devinrent une attraction pour l’aristocratie piémontaise et savoyarde. Avec l’ouverture, à la fin du XIXe siècle, des premiers hôtels – l’Hôtel de l’Union, l’Hôtel de l’Ange et le Grand-Hôtel Royal – la ville trouve sa véritable vocation : le tourisme de haut niveau.

    Les eaux semi-ferrugineuses et riches en acide carbonique de la source Victoire de Dolonne jaillissaient à 12°C du ruisseau de Chacruy (Chécrouit) dans une ancienne cabane en bois à laquelle, en 1828, une grande pièce fut ajoutée pour accueillir Charles-Albert, alors Prince de Carignano. Elles étaient décrites comme désostrumantes et toniques, utiles pour guérir les troubles digestifs, les faiblesses, les hémorragies passives et même pour lutter contre la stérilité.

    La source Marguerite à Courmayeur

    A environ 400 mètres du centre, sur la rive gauche de la Doire, jaillit la source Marguerite, protégée par un pavillon rond et sans fenêtres. Ces eaux, très semblables aux précédentes, amélioraient la santé des enfants affaiblis et les fonctions digestives pendant le développement, tout en guérissant la chlorose féminine. Les deux sources étaient considérées comme complémentaires pour le rétablissement de la santé : la taxe journalière pour boire l’eau des deux sources était de L. 0,40 (pour moins de trois jours), sinon une taxe fixe de L. 6 était demandée pour toute la saison.

    La source Marguerite a disparu en 1881 à la suite d’une inondation. La source Jeanne-Baptiste, proche de la source Marguerite, fut également détruite par la Doire au XVIIIe siècle. En 1883, le grand établissement hydrothérapique de Michel Tavernier, aujourd’hui transformé en hôtel, est construit au-dessus de la source disparue.

    Les sources de La Saxe et de la Dolonne

    Les thermes de La Saxe à Courmayeur, sur une image datant d'environ 1900 (c) CC BY 3_0 Italy Fondazione Torino Musei Wikimedia Commons
    Les thermes de La Saxe à Courmayeur, sur une image datant d’environ 1900 (c) CC BY 3_0 Italy Fondazione Torino Musei Wikimedia Commons

    Dès 1814, les sources de La Saxe, grâce à l’ingéniosité de Michel Derriard, disposent d’une petite maison avec cinq bains individuels, une chambre séparée avec des baignoires pour les scabieux et, à l’étage, quelques chambres pour les malades. L’eau sulfureuse, alcaline, iodée et bromée, riche en barégine, s’écoule directement de la falaise à une température d’environ 18°C avec un jet de dix centimètres de diamètre. Elle avait un goût nauséabond et une odeur d’œuf pourri, mais ses propriétés étaient utilisées pour traiter les maladies de peau, les troubles du système lymphatique et les affections chroniques de la poitrine. L’eau servait également à rendre la lingerie de chanvre plus blanche.

    En 1835, le Dr Barthélemy-Augustin Vagneur, protomédecin à Morgex, reconstruit le bâtiment en y ajoutant une grande salle et vingt-cinq petits bassins. Les eaux sulfureuses sont un excellent remède pour les voies respiratoires, digestives et urinaires, ainsi que pour la gale, les efflorescences cutanées, l’arthrite, la sciatique et les blessures par balles. Le prix d’un bain, linge compris, était de L. 1,50, tandis que pour rester dans la chambre d’inhalation et boire librement, il fallait payer un forfait de L. 2 pour toute la saison.

    La source Regina jaillissait au nord du pont de Dolonne, intégrée à une maison privée. En 1886, Valentin Berthod canalise l’eau vers un nouveau bâtiment inauguré par la reine Marguerite, et en 1895 la gestion passe à la famille Suquet, déjà propriétaire de la source Vittoria.

    Au début du XXe siècle, Courmayeur comptait cinq sources d’eau minérale

    En 1906, la ville au pied du Mont Blanc est décrite comme suit dans le guide La Vallée d’Aoste: « Courmayeur a vraiment tout pour lui : hôtels luxueux, élégantes villas, riantes campagnes, villages pittoresques, cinq sources minérales, forêts touffues couvrant les croupes des monts. Verts pâturages, un climat d’une douceur toujours égale et un fond de tableau d’une grandeur incomparable. Dont la blancheur éclatante a pour corniches les sombres rochers à pic du Mont Chétif et du Mont de la Saxe. […] de juin à septembre c’est une ville pleine de luxe, de mouvement et d’entretien, offrant à ses visiteurs toutes les commodités et le confort de la vie moderne ».

    En 1886, en arrivant à Courmayeur, « l’apparition a plus de fantastique que de réel ; on dirait une péripétie spectaculaire préparée par quelque puissance magique pour surprendre l’esprit humain et le transporter dans le monde du surnaturel. […] Là-bas, encadré par deux hautes montagnes sombres qui semblent se rejoindre, s’élève la haute et éblouissante chaîne du Mont-Blanc, majestueuse comme le colosse des Alpes et se découpant sur le ciel radieux comme un immense rideau sorti de l’imagination de l’artiste le plus fervent.

    La ville de Saint-Vincent achète sa source

    En 1820, la municipalité de Saint-Vincent achète la propriété de la source, découverte en 1770 par l’abbé Jean-Baptiste Perret, et construit un bâtiment de style néoclassique, le fameux Fons Salutis, avec les thermes à l’étage inférieur et des chambres d’hôtes et une salle de consultation médicale à l’étage supérieur. À l’extérieur, sur le fronton, on pouvait lire l’inscription suivante : « À la mémoire de Jean Baptiste Perret – prêtre du diocèse d’Aoste – qui a découvert cette source de santé et de richesse – le XX juillet MDCCLXX – sous le règne de Charles Emanuel III – hommage de reconnaissance universelle ».

    L’un des premiers visiteurs fut la reine Marie-Thérèse d’Autriche d’Este, épouse de Victor Emmanuel Ier, accompagnée de ses filles Béatrice, Anna et Maria Cristina au cours des étés 1825, 1826 et 1827.

    Quelques décennies plus tard, en 1854, Marie-Thérèse de Toscane, veuve de Carlo Alberto, et Adélaïde de Savoie, sa nièce et future épouse de Victor Emmanuel II, perpétuent elles aussi la tradition de la Maison de Savoie de se soigner avec l’eau de la source Saint-Vincent.

    L’élite en funiculaire à crémaillère

    C’est ainsi que naît le premier tourisme élitiste et timide, composé d’aristocrates, d’hommes politiques, d’ecclésiastiques, de rentiers, d’officiers, d’hommes de loi, de banquiers et de commerçants, principalement piémontais, qui considèrent qu’il est de bon ton de « passer les eaux » pendant les mois d’été.

    En 1892, les thermes ont été agrandis avec de nouvelles sections de bain, d’élégantes salles à manger, de lecture, de jeu et de conversation, ainsi qu’une salle de bal. L’année 1900 vit également l’inauguration d’un funiculaire électrique à crémaillère innovant, œuvre de l’ingénieur turinois Giovanni Battista Diatto, qui permettait de rejoindre la station thermale depuis le centre-ville en quelques minutes seulement, en surmontant un dénivelé de 62 mètres.

    Au début du XXe siècle, la ville thermale disposait de la plus grande capacité d’accueil touristique de la Vallée d’Aoste avec sept hôtels et 625 lits.

    Au XVIIIe siècle, le thermalisme comme moteur du développement de la Vallée d’Aoste

    Voiture n° 2 du funiculaire de Saint-Vincent conservée au musée des transports "Ogliari" de Ranco (c) CC 01 Public Domain Torsade de Pointes Wikimedia Commons
    Voiture n° 2 du funiculaire de Saint-Vincent conservée au musée des transports « Ogliari » de Ranco (c) CC 01 Public Domain Torsade de Pointes Wikimedia Commons

    L’intendant de la Délégation du Royaume, Aimé-Louis-Marie Vignet des Étoles, accorde une grande attention au développement thermal à partir de 1773 dans son projet de revitalisation de la province. En quelques années, le thermalisme devient l’une des principales attractions touristiques de la Vallée d’Aoste. Pour favoriser la venue des visiteurs et stimuler le commerce, Vignet améliore notamment le réseau routier.

    Le médecin aostois et journaliste libéral Auguste Argentier est également un grand promoteur du thermalisme.

    Convaincu que les trois stations thermales peuvent être le moteur de l’économie touristique valdôtaine, Argentier unit santé et plaisir. Son journal L’Album, journal des Grandes Alpes (1859), distribué pendant la saison thermale, a pour but d’informer les vacanciers sur la qualité des eaux minérales locales, tout en valorisant le terroir et l’alpinisme.

    Dfb13817 cff1 4da0 9695 b6accfe74c47
    Un extrait de L’Album, Journal des Grandes Alpes, à la Bibliothèque régionale de la Vallée d’Aoste et en format numérique sur Cordela

    (extrait de L’apport de la famille royale au développement touristique de la Vallée d’Aoste du Moyen-Âge à 1946, mémoire de maîtrise à l’Université de la Vallée d’Aoste, en original en langue italienne – sauf les citations en français – année 2021, avec l’aimable autorisation de Caterina Pizzato. Les titres des paragraphes ont été ajoutés, avec quelques ajustements mineurs pour la lecture et quelques mots en gras. Les images ont été choisies par la rédaction de Nos Alpes)

    LIRE AUSSI :

    L’industrie des étrangers, ou l’arrivée du tourisme en Vallée d’Aoste, par Caterina Pizzato

    Le visiteur de prestige aux origines du développement thermal à Aix-les-Bains, par Oliver Ciucci

    Featured
    Avatar photo
    Caterina Pizzato

    LEGGI ANCHE / A LIRE AUSSI

    TypicAlp
    Environnement et territoire

    TypicAlp à RegioStars 2025 pour la filière laitière valdôtaine et valaisanne

    26 juillet 2025
    Du tourisme dans un village de montagne, illustration - turismo in un villaggio di montagna, illustrazione (c) Nos Alpes AI
    Économie

    Tourisme estival en montagne, stratégique en France, Suisse, Italie: analyse

    25 juillet 2025
    Cervino CineMountain 2025 (c) CCM
    Événements

    Le Cervino CineMountain 2025 et la montagne d’aujourd’hui

    25 juillet 2025
    La ministre Annie Genevard en réunion à la préfecture de Savoie, le 24 juillet 2025 (c) Préfecture de Savoie
    Environnement et territoire

    Dermatose nodulaire bovine (DNC), fromages bloqués, vaccinations

    25 juillet 2025
    Estratto da una delle copertine di Insoliti 2025
    Culture

    Spectacle vivant : festival INSOLITI 2025 dans neuf scènes de la Vallée d’Aoste

    24 juillet 2025
    Couverture de la Ville d'Annecy de la Friche des Rails 2025
    Événements

    Friche des Rails, été 2025 : art, musique et rénovation urbaine à Annecy

    24 juillet 2025
    Nosaccents
    Les plus lus
    TypicAlp

    TypicAlp à RegioStars 2025 pour la filière laitière valdôtaine et valaisanne

    26 juillet 2025
    Le attuali terme a Pré-Saint-Didier in Valle d'Aosta - les thermes à Pré-Saint-Didier en Vallée d'Aoste (c) CC BY-SA 3_0 SSire Wikimedia Commons

    Les va-et-vient des ducs de Savoie aux thermes de la Vallée d’Aoste

    26 juillet 2025
    Du tourisme dans un village de montagne, illustration - turismo in un villaggio di montagna, illustrazione (c) Nos Alpes AI

    Tourisme estival en montagne, stratégique en France, Suisse, Italie: analyse

    25 juillet 2025
    Cervino CineMountain 2025 (c) CCM

    Le Cervino CineMountain 2025 et la montagne d’aujourd’hui

    25 juillet 2025
    à ne pas manquer
    William Turner, “The Bay of Baiae with Apollo and the Sibyl”, olio su tela, 1823 (La Venaria reale)

    L’hommage de la Reggia di Venaria au Romantisme de la peinture dans “Turner. Paesaggi della Mitologia”

    By Giorgia Gambino6 janvier 2023

    L’exposition, curée par Anne Lyles et dédiée à un des peintres anglais les plus connus, est admirable dans les Sale delle arti du premier étage jusqu’au dimanche 28 janvier 2024.

    Nice Climat Summit

    À Nice le premier “Nice climate summit” dédié au climat et à la biodiversité

    24 septembre 2023
    Tunnel del Lötschberg (Adrian Michel, CC BY-SA 3.0)

    La restructuration du Tunnel du Lötschberg va coûter cher

    28 septembre 2023
    Moutier (Florian Pépellin, CC-BY-SA 3.0)

    Moutier est toujours plus proche au Canton du Jura

    30 septembre 2023
    suivez-nous sur
    • Facebook
    • Twitter
    • Instagram
    • YouTube
    • LinkedIn
    About
    About

    Nos Alpes est publiée par
    Agence de coopération et développement sas Aosta (I) TVA IT01050350071

    Enregistrée au Tribunal d'Aoste n.1 - 4/10/2023

    Registre des opérateurs de la communication (ROC) n. 39954 - 28/11/2023

    Nos Alpes est membre de ANSO - Associazione Nazionale Stampa Online

    Directeur responsable: Enrico Martial

    Privacy policy

    Facebook X (Twitter) Instagram YouTube LinkedIn
    Les plus lus
    Le train de Saint-Gervais Les-Bains (c) CC BY SA Wikimedia Commons

    Ce train qui devait arriver au sommet du mont Blanc

    5 octobre 2024
    Éboulement_en_Maurienne 27/08/2023 - Florian Pépellin CC BY SA

    Lyon-Turin : la ligne ferroviaire actuelle peut encore être sauvée

    1 février 2024
    Autour du Fort de Bard, la bataille (c) Nos Alpes IA

    Napoléon et le Fort de Bard, la bataille /4

    4 mars 2025
    L'esercitazione nei pressi della base aeronavale di Hyères nel 2024, azione su contatto (c) Ministero della difesa

    La Base d’aéronautique navale de Hyères a 100 ans, en fête le 1er juin

    31 mai 2025
    Post populaires
    William Turner, “The Bay of Baiae with Apollo and the Sibyl”, olio su tela, 1823 (La Venaria reale)

    L’hommage de la Reggia di Venaria au Romantisme de la peinture dans “Turner. Paesaggi della Mitologia”

    6 janvier 2023
    Nice Climat Summit

    À Nice le premier “Nice climate summit” dédié au climat et à la biodiversité

    24 septembre 2023
    Tunnel del Lötschberg (Adrian Michel, CC BY-SA 3.0)

    La restructuration du Tunnel du Lötschberg va coûter cher

    28 septembre 2023
    Moutier (Florian Pépellin, CC-BY-SA 3.0)

    Moutier est toujours plus proche au Canton du Jura

    30 septembre 2023
    © 2025 Nos Alpes.
    • Qui sommes-nous
    • S’abonner
    • Partenaires
    • Faire un don
    • IT
    • Log In

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.