L’initiative, approuvée le mardi 14 novembre dernier, prévoit de faciliter l’inclusion linguistique et professionnelle, de faciliter l’expulsion des personnes considérées des menaces pour l’ordre public, de sanctionner l’exploitation et le franchissement illégal des frontières, de réformer le régime d’asile et de simplifier les réglementations.

Au début de l’année universitaire en cours, 471 postes dans les facultés de Pharmacie étaient vacants, ce qui représente une légère amélioration par rapport aux plus de 1 000 postes recensés en septembre 2022.