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Dans « J’ai vu l’abîme », le célèbre alpiniste italien raconte la traversée hivernale du Gasherbrum I et du Gasherbrum II qu’il a effectuée en 2019 avec sa partenaire d’escalade Tamara Lunger.
Ce pain fin et ancien, à la saveur unique et aux multiples combinaisons, est populaire dans toutes les zones de l’Île et même au-delà de ses frontières maritimes.
Le livre a été publié par Rizzoli en 2018 et a été écrit par l’alpiniste du Trentin-Haut-Adige elle-même, en collaboration avec l’écrivain Francesco Casolo.
Également connus sous le nom de Ravioles di Melle, il s’agit de boulettes de pommes de terre allongées dont la pâte contient un fromage typique de la région, le « Tomino » de Melle.
Le roman « Le diable est un enfant » d’Hélène Armand recueille les confidences de cette femme pour un récit à mi-chemin entre la reconstitution biographique et la fiction littéraire.
Ce plat n’est autre qu’une soupe à base de poisson blanc assaisonné de tomate, d’oignon et d’une sauce Aïoli à base d’œufs et d’ail.
Dans son essai, Linda Cottino réécrit l’alpinisme féminin en racontant les exploits de Meta Brevoort, Marie Paillon, Anna et Ellen Pigeon, et Elizabeth Aubrey Le Blond.
Il s’agit de petits cubes de farine de pois chiche frits dans l’huile ou cuits au four, typiques des zones maritimes de Gênes et de Savone mais aussi de Nice et de Marseille.
Le roman de Patrick Col raconte le parcours d’Antoine, marqué par une mutation physique qui le rend insensible au toucher mais capable de réaliser des exploits alpins qui dépassent toutes ses limites.
Ces biscuits en forme de barque symbolisent le voyage et la protection et sont typiques de la région marseillaise notamment.
Le roman de l’auteur originaire de Milan a été traduit en 35 langues depuis 2017 et transformé en long métrage en 2022.
En dehors de la France, ces beignets croustillants sont répandus dans le nord de l’Italie sous le nom de « Bugie » ou en Vallée d’Aoste et en Sardaigne sous le nom de « Merveilles ».
Dans son livre, publié par Laterza, le journaliste, écrivain et scénariste milanais Marco Albino Ferrari propose une autre façon de raconter les Alpes.
Il s’agit d’une soupe crémeuse aux poireaux et aux pommes de terre, enrichie par la présence de la saucisse au choux.